Slobodan Despot est venu défendre le livre de Janus — et sa thèse — face à un Jacques Neirynck plus que sceptique.
Neirynck, l'auteur de "Attaque au Palais fédéral", a trouvé la thèse "insidieuse", avertissant que "si on la laissait se répandre, elle risquerait de se réaliser".
Sous cette insidieuse suggestion de censure, n'y avait-il pas, en fait, une puissante incitation à lire le livre?
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